Le déclin des pollinisateurs sauvages en Europe et dans la zone transfrontalière est un enjeu écologique majeur. Leur déclin actuel est lié à de nombreuses causes que le projet fédéral BELBEES étudie actuellement avec l’aide d’un réseau de cinq laboratoires belges coordonnés par l’UMONS.

Le projet BELBEES étudie les causes de déclin des abeilles sauvages en Belgique et produit des résultats essentiels à la conservation des abeilles dans la zone transfrontalière.

 

Cette situation alarmante a aussi mené récemment à l’élaboration d’un Plan National d’Action « France Terre de Pollinisateurs » en France et au « Plan Maya » en Wallonie. Ainsi, si des initiatives existent déjà dans les pays concernés, il n’existe pas ou peu d’actions concrètes et d’envergure pour la conservation des pollinisateurs sauvages dans la zone transfrontalière.

 

Les pollinisateurs sont essentiel au maintien de notre agriculture et de nos écosystèmes et paysages!

Or les pollinisateurs de cette zone appartiennent aux mêmes cortèges d’espèces fortement menacés. Ils sont essentiels au maintien de l’agriculture et des écosystèmes et sont donc indispensables à l’activité économique et au bien-être des habitants du territoire.

Ce contexte global sensible est renforcé par de nombreuses disparités régionales.

…c’est à ce constat préliminaire que répond le projet SAPOLL!

Grâce au plan d’action et aux outils construits en commun, ce projet assurera la mise en place de programmes de conservation cohérents sur tout le territoire et donc plus efficace, tout en étant adaptés aux spécificités régionales.